« Les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics, bancs publics, bancs publics,
En se disant des « Je t’aime » pathétiques. Ont des petites gueule bien sympathiques. »
Georges Brassens – 1954
Aujourd’hui on va parler d’Amour. Notez la majuscule, elle a son importance.
Je préfère prévenir tout de suite, si vous êtes d’un naturel un peu fleur bleue : ça serait peut-être mieux de vous abstenir de lire la suite. Je ne voudrais pas avoir de plaintes sur le dos. Non pas que j’en ai quoique que ce soit à carrer mais ça fait toujours mauvais genre pour un blog de bonne famille tel que celui-ci de se retrouver enseveli sous les tombereaux d’insultes en tout genre de personnes crédules qui seraient tombées là par hasard, aguichées qu’elles furent par un titre que je concède trompeur. Relisez bien la phrase précédente, même moi j’ai été obligé de le faire trois fois pour vérifier que c’était bien français. Enfin vous voyez le topo, l’atmosphère est belliqueuse, on risque d’avoir droit à de la violence gratuite. Du règlement de compte à l’ancienne. Il ne faut pas m’en vouloir, j’ai un mauvais fond. Je suis un connard arrogant et prétentieux. Et cynique en plus.
A partir de maintenant je considère que vous êtes prévenus. Les sommations d’usage ont été faites en bonnes et dues formes, faudra pas venir me chialer dans les rouflaquettes (que je n’ai pas).
Place à l’Amour.
Avec des cœurs autour.